Si le vélo électrique connaît de plus en plus de succès aujourd’hui, c’est grâce à ses différents points forts. De plus, le fait que l’état offre son aide pour l’achat d’un VAE contribue aussi à son accessibilité.
Le bonus VAE, c’est quoi ?
Pour préserver l’environnement, on incite la population à opter pour des véhicules moins polluants et moins nocifs pour notre planète. Pour que le vélo électrique soit à la portée de toutes les bourses, l’état accorde un bonus vélo à assistance électrique aux Français. Il s’agit d’une aide octroyée par l’état pouvant aller jusqu’à 200 €. Pour bénéficier de ce bonus, il faut être majeur, résider en France et avoir un revenu fiscal de référence ne dépassant pas 13.489 €. Le but est de favoriser les foyers avec un revenu modeste. Par ailleurs, le bénéficiaire doit aussi s’engager à faire l’achat ou la location d’un VAE pendant une durée d’au moins 2 ans. D’autre part, le vélo électrique à acquérir doit de son côté être neuf, être équipé d’un moteur d’une puissance maximale de 0,25 KW et ne pas être doté d’une batterie au plomb.
Aide de l’état : la prime à la conversion électrique
L’état met également au point une prime à la conversion électrique comme aide à l’achat d’un vélo électrique. En effet, il est possible de mettre à la casse son véhicule thermique polluant contre l’achat ou la location d’un vélo électrique depuis juillet 2021. Pour en bénéficier, les conditions sont à peu près similaires à celles du bonus VAE. Il faut être majeur, résider en France, la seule différence est qu’il faut faire détruire son ancien véhicule qui est polluant. Ainsi, l’ancien véhicule doit être immatriculé en France et être alimenté au diesel ou à l’essence. S’il s’agit d’un véhicule roulant au diesel, sa première immatriculation doit dater d’avant le 1er janvier 2011. Et la première immatriculation doit dater du 1er janvier 2006 pour un moteur à essence.